Idée reçue: une école de jury ne contient que des mauvais élèves, sources de mauvaises influences

Nous pouvons tout à fait comprendre qu’une école de rattrapage puisse faire peur aux parents, surtout pour la génération qui a grandi avec le film « les sous-doués ».

Ayant moi-même fréquenté le Jury Bogaerts entre 1994 et 1998, je peux témoigner que déjà à l’époque, les sousdoués n’étaient finalement que des étudiants qui en avaient ras le bol du système scolaire et certainement pas de l’apprentissage. Dès leurs arrivées au Jury Bogaerts, l’envie d’apprendre et de travailler prenait rapidement le dessus sur le rejet du système.

En outre, le profil des jeunes en décrochage a beaucoup changé au fil des ans. Au départ, les étudiants en décrochage l’étaient à cause d’un rejet du système et étaient par conséquent plus compliqués à gérer. De nos jours, les jeunes sont plus en guerre contre eux-mêmes que contre l’autorité ou leurs parents même si ces derniers restent importants dans les causes du redoublement. 

Les jeunes de 2024 demandent donc moins de travail disciplinaire grâce à notre pédagogie qui s’occupe de chaque étudiant individuellement. Au Jury Bogaerts, tout le monde est là pour réussir et terminer leurs études secondaires. Par conséquent, il en découle une ambiance studieuse et propice à la réussite pour tous nos étudiants. Pour dissiper une fois pour toutes vos inquiétudes concernant l’environnement scolaire, nous appliquons également une règle rigoureusement qui détermine toutes les autres: « on ne dérange pas le travail des autres ».

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